dimanche 6 décembre 2009

Congo Brazzaville. Hommage de l'Etat à Bernard Kolélas

Pour rendre un dernier hommage à Bernard Kolélas, toutes les institutions congolaises et la population n'ont pas hésiter à se rendre à l'Aéroport international de MAYA MAYA, au domicile de l'ancien Premier Ministre, au Centre sportif de Makélé-kélé Brazzaville, au Palais du Parlement et à Ntsouélé, lieu de l'inhumation du corps du Premier Ministre. Un moment historique.

M. et Mme Sassou Nguesso à Ntsouélé




La chapelle ardente











Parfait Kolélas

vendredi 13 novembre 2009

Les militants du MCDDI et les Congolais sont en deuil. Bernard Kolélas est mort.


Bernard Bakana Kolélas

Président fondateur du MCDDI







Théo Joseph Senga, fondateur du MCDDI- France




Bernard Kolélas
est mort ce matin 13 Novembre 2009 en France. Les militants et les congolais pleurent leur président.
Le Congo vient de perdre un grand démocrate et un patriote, le Président fondateur du MCDDI.
Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI invite tous les militants et sympathisants de méditer, de se recueillir devant sa mémoire et de continuer le combat.
Un combat de tout une vie au service des droits de l'homme et des libertés publiques.
Homme de paix, homme de dialogue, homme de convictions, le président Bernard Kolélas nous laisse un héritage politique immense. A nous de travailler sans complaisance pour le mériter.


Pour Assister à la veillée:


Adresse de la veillé (salle)

Hôtel Concorde Lafayette 3 place du général Koenig Paris 17eme

Métro: Porte Maillot

samedi 14 novembre de 18h à 6h du matin

dimanche 15 de 18h à 1h du matin

lundi 16 novembre de 18h à 1h du matin


Contact: 06 24 22 91 16/06 65 12 89 08

vendredi 9 octobre 2009

OBAMA prix nobel de la Paix

Un homme plein d'avenir qui fait l'unanimité dans les grandes démocraties.
Quelques mois seulement après son investiture, le président Américain rassure le monde sur sa démarche diplomatique et politique. Sans concession sur les valeurs démocratiques, mais ouvert aux pays dont les dirigeants méprisent leur propre peuple. On comprendra aisément que cette démarche n'est pas des plus faciles à faire.

L'humilité avec laquelle il a accueilli cette haute distinction, tranche avec l'arrogance de certains dictateurs sanguinaires à travers le monde. C'est malheureusement le cas au Congo Brazzaville où le prétendu élu du 12 Juillet 2009 (moins de 10% de votants) pense qu'il est une apparition divine. Depuis 1979, date de son accession au pouvoir Sassou Nguesso dispose d'un bilan criminel hors du commun.
Dorénavant, pour se faire photographier aux cotés du couple OBAMA à coup de très couteux frais de lobbying, Sassou doit réfléchir à deux fois. Quand on est responsable des disparus du Beach et des autres nombreux crimes jusqu'alors impunis, cela fait" tâche" d'être aux cotés de grands hommes paix.

Dans le monde il y a sûrement deux sortes de distinctions:
- La première c'est la reconnaissance par les peuples et les institutions internationales de l'espoir pour l'humanité que susciter certaines actions de bonne volonté. C'est le cas du président OBAMA, prix Nobel de la paix 2009 .
- Deuxièmement , le prix de la médiocrité et des actions criminels sanctionnées sanctionnées de temps en temps par la cours pénale internationale.

mardi 6 octobre 2009

Paris-Chateau Rouge ou le Kongo-Land à Paris

Historique!

Pas un pas à "Château rouge" sans entendre les gens s'exprimer en Lingala, en Kikongo ou en Lari.
Véritable point de rencontre des Congolais des deux bords du fleuve Congo, on y trouve aussi d'autres personnes issues de l'Afrique Centrale.

Cette fois-ci, rien à voir avec la MEC (Maison des Étudiants Congolais), un bâtiment propriété du Congo à la disposition des étudiants et résidents congolais en France. Mais vendue par Sassou 1 sans doute par jalousie ou simplement pour déstabiliser ses opposants (déjà).
Rien avoir aussi avec Château d'eau, un lieu jadis destiné à voir et être vu.

A Château rouge, les Kongolais ou les Bantous ont des commerces des débits de boissons et même de boutiques d'habits de luxe chers aux congolais. C'est le cas de "Connivences", une boutique connue et reconnue. Un lieu incontournable si l'on veut être vu et voir les autres. Chez Mâ Rose, c'est la pionnière des lieux. La liste est longue et cela ne fait que commencer.

Une chose est sûre, Le pouvoir de Brazzaville aura du mal s'en débarrasser, car à la différence de la MEC, c'est un lieu où se mélangent les opposants au régime dictatorial de Brazzaville et gens favorables au pouvoir. Un lieu où la tolérance est devenue une normalité. Il y a certes des frictions pacifiques, mais cela ne va pas plus loin. Pourtant, dans cet espace se croisent souvent les victimes de la tragédie de 1997 et leurs bourreaux devenus pour certains de fervents croyants et pratiquants.
Le dictateur du Congo devrait au moins s'en inspirer au lieu de priver la liberté d'aller et venir aux opposants en les interdisant de quitter le pays. Tôt ou tard au Congo, l'opération vérité réconciliation devrait voir le jour afin de libérer certains compatriotes du poids de leurs forfaits criminels. Cela permettra aussi aux rescapés des tueries ainsi qu'à leurs familles de faire vraiment leur deuil et de tenter de repenser leur avenir.
Quant à nos cousins du Congo Démocratique, plus discrets en politique en ce haut du brassage interKongo ne comprennent toujours pas la chasse aux congolais "ya ngambo". Pourtant, à travers leur musique, ils n'ont cessé de louer les qualités des hommes politiques du pouvoir de Brazzaville dont les noms sont régulièrement cités dans leurs chansons. Mais peine perdue! la chasse à l'homme continue. Heureusement que nous avons notre Kongo-Land en France.

Vive Château Rouge et vivent les Kongos.

jeudi 1 octobre 2009

Pour le Frère Zoubabéla, retrouvons-nous à Saint Dénis

Les Congolais de la diaspora, ceux qui connaissent de près ou de loin Maître Zoubabéla et les militants du MCDDI, retrouvons-nous à la veillée pour honorer sa mémoire.

Date: ce samedi 3 Octobre 2009
De 16 heures à l'aube
Lieu: Saint Dénis
Adresse: 12, Avenue Roger Semat 93 450 Saint Dénis
Indication: "Le Bouquet"
Face au stade Auguste Delaunne
En voiture: prendre l'autoroute A1 LILLE.
Sortie 3 Pierrefitte Saint Dénis.
Transport en commun:
  • RER B Descendre à Saint Dénis Stade de France
  • Métro ligne 13, Descendre Saint Dénis Basilique
Feuille de route 1,300 Km à partir de Saint dénis basilique
  • Prendre la droite, Bd de la Commune 140 m
  • Prendre la Gauche, Bd Félix faure 78 m
  • Prendre la droite, rue Bonnevide 336 m
  • Prendre la gauche, rue Charles Baudelaire 127 m
  • Prendre la droite, rue Gabriel Péri 273 m
  • Tout droit, place du Général Leclerc 336 m
Arrivée, Avenue Roger Semat

Autre précision: se reporter sur MAPPY



mardi 29 septembre 2009

Maître Zoubabéla Ngamanka est Mort

Le MCDDI est en deuil.

Éminent haut magistrat, docteur en droit, sénateur et membre du Bureau Exécutif National du Mouvement Congolais pour la Démocratie et le développement Intégral - MCDDI, maître Zoubabéla nous a quitté ce jour 29 Septembre 2009.

Très proche du Président du MCDDI, Bernard Kolélas et des militants, sa silhouette ne passait pas inaperçu.
Accessible, il fut un homme ouvert au dialogue sans distinction d'orientation politique des uns et des autres.
C'est une valeur qui disparaît et une étoile qui vient de s'éteindre dans la galaxie MCDDI.
Paix à son âme.

vendredi 7 août 2009

Paris Invalides, les Iraniens dénoncent les agressions à Ashraf













Les habitants d'Ashraf sont en danger. La communauté internationale doit faire preuve d'intransigeance face aux actions meurtrières des autorités Iraniennes.

jeudi 25 juin 2009

Appel au boycott du scrutin présidentiel du 12 juillet 2009

Mouvement Congolais pour la Démocratie

et le Développement Intégral

(M.C.D.D.I)

Justice – Travail – Fraternité


Club Perspectives et Démocratie



Chers compatriotes,

La magistrature suprême prévue en juillet 2009 attire une cohorte de personnalités du microcosme politique de notre pays. Relevant les controverses juridiques sur l’irrégularité constitutionnelle de cette consultation, le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI dénonce cette mascarade qualifiée de simple opération de reconduction de monsieur Sassou-Nguesso à la tête de l’État. Ce scrutin dénué de transparence ne saurait cependant être compris sans un minimum de pédagogie ni un bref rappel historique.


Il y a 12 ans, un régime constitutionnel légal s’est écroulé par incompétence, après s'être lui-même compromis dans le droit. Un autre, sorti d'une criminelle usurpation, s'exalte en pouvoir totalitaire. Nous les condamnons tous les deux. Le régime actuel et l’icône qui l‘incarne sont à la fois la source de l’instabilité politique au Congo et le vecteur principal de la pauvreté. Cet ordre, issu d’une sanglante guerre, continue à poser des stigmates. Sous ce régime, le Congo, plus humilié que vaincu, est devenu un butin de guerre livré en pâture à une meute de compatriotes voraces et ingrats. Le repli tactique du camp républicain en octobre 1997 signifiait la fin d’une autodestruction à caractère militaro-diplomatique différente d’une capitulation politique. La dimension Internationale du conflit en fut le catalyseur de l’issue sans altérer l’ardeur des démocrates poussés à l’exil. Sassou-Nguesso et Bernard Kolélas, deux hommes idéologiquement opposés et alliés politiques désunis, symbolisèrent dès lors les deux Congo: D’un côté, le Congo de la démocratie. De l’autre, le Congo de la dictature. Le premier a privilégié ses intérêts personnels contre la nation et combat depuis lors la démocratie acquise à la Conférence Nationale Souveraine. Il a mis en œuvre sa politique de nivellement démographique, destructive, hégémonique, et foncièrement anti citoyenne. Le second, pour sa part, avait privilégié la nation sous l’angle de l'unité et eût pour seul objectif de ramener le pays à la concorde par la dynamique de paix.


Cette fracture profonde a constitué pendant huit longues années la ligne de partage entre la dignité patriotique bafouée et l’ingratitude patriotique triomphante. Durant cette période, nous avons été nombreux dans le pays, et plus encore au MCDDI, à s’activer pour le retour à la démocratie pluraliste. Retour tant attendu par les populations et tant redouté par le régime en place.


Malencontreusement, les leaders historiques dépositaires de l’espoir résiduel de notre peuple ont fait des choix incompatibles avec l’idéal démocratique. Notamment, l’arrimage au RMP traduit la résignation d’une certaine classe politique et sape le moral des populations. Cette situation ne découle pas de l’ingéniosité de l’adversaire. Elle découle de la faiblesse économique et sociale de quelques transfuges du PCT rongés par les épreuves et phagocytant les organisations politiques. Cette réalité a révélé à la nation que le danger qui menace notre existence commune n'est pas le fait d’un seul homme. Elle rappelle qu'une rotation politique qui ne serait ni une rupture ni un profond changement n’entraînerait pas la fin du système banni à la Conférence Nationale Souveraine.


Aujourd’hui, les derniers voiles, sous lesquels la nébuleuse et les traitres opéraient, sont désormais déchirés. L'enjeu de cette échéance est clair pour tous les Congolais : la soumission ou la dignité. Chacun a le devoir de tout faire pour empêcher la dictature de prospérer car il n'y a d'issue et d'avenir que dans la victoire.


Le Club Perspectives et Démocratie considère que les intérêts agglomérés autour du système politique actuel n’apporteront aucune solution viable pour développer le pays. Aussi vraisemblable que la machine à tricher vienne à triompher, il n'y a aucune chance que ces mêmes intérêts échappent à la loi de la soumission et du crime visant l’installation d’une dynastie à l’instar de certains régimes du continent. C’est pourquoi, quelles que puissent être les promesses et l’épaisseur des enveloppes, le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI invite tous les compatriotes qui ont encore le courage de se mettre debout de se joindre à nous pour continuer le combat sous toutes ses formes et en toute circonstance.


Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI considère que l’échéance de juillet 2009 est un non évènement car conçue et programmée pour reconduire la forfaiture issue du coup d’État d’octobre 1997. Juillet 2009 parait comme un événement majeur que pour ceux qui s’inscrivent dans le calendrier politique de Mr Sassou. Les urnes ne permettront de rogner les pouvoirs de ce régime que par une abstention forte audible de l’opinion internationale. Juillet 2009 n’est donc pas une échéance déterminante. Le changement contre ce régime qui tient son existence du fait accompli, résultera du rapport de force. Il n’y a pas d’échéance pour un peuple qui aspire à la liberté, à sa dignité, à l’État de droit et qui cherche à se défaire de la dictature.


Tout en faisant la part des circonstances, il est aussi établi que les leaders historiques qui constituaient jadis les forces du changement, domestiqués, ont tous renoncé à changer la donne politique au Congo. De même, l’opposition interne au système, atone, incohérente et dispersée, s’avère inefficace. Elle laisse le pouvoir décider à son gré de l’inclinaison politique. Elle peine non seulement à proposer un programme politique de rupture, mais aussi peine à impulser un rythme qui mettrait le pouvoir dos au mur.

Enfin, l’armée est investie aux tâches sanglantes contre les civils. Ses hauts dignitaires assurent la campagne du chef du régime qui apparait alors comme l’ogre qui surclasse ses adversaires.

Cette apparence est le reflet d’un véritable culte de la personnalité reposant sur une triple stratégie :


a) La logique des évidences où l’icône évincée en 1992 veut apparaître comme l’unique Congolais capable de gouverner. Pour se faire, depuis 1997, il neutralise les opposants de sa génération par la domestication matérielle et financière. Il atomise l’opposition par un effet de domino depuis la réactivation de ses anciennes alliances. Il fait chanter ses colistiers du risqué d’échouer au TPI pour les crimes humains en contrepartie d’un soutien inconditionnel.


b) La dissuasion militaire où le régime, assis sur une montagne d’argent et de munitions, exerce un chantage sur la paix suivant la rhétorique consacrée « moi ou la guerre. »


c) La stratégie du cheval de Troie passant par le clientélisme et le phagocytage de toutes les formations politiques pour obtenir l’adhésion des États Majors politiques sur son maintien.


Cette stratégie crée l’impression d’un soutien venant de tous les côtés de l’échiquier politique.

De plus, en organisant des pseudos collectes d’argent venues des populations et remis au dictateur en signe de reconnaissance, il veut faire croire à l’opinion internationale que sa future reconduction est une volonté populaire. En réalité, c’est une manœuvre de diversion et une réponse au rejet total de sa présence inutile à la tête de l’État Congolais depuis 1979.


Devant une telle supercherie électorale, le Club Perspectives et Démocratie, s’insurge et prend date avec l’histoire. Malgré les chaînes et le bâillon qui tiennent le pays en servitude, des aspirations venues du plus profond de l’âme congolaise expriment l’indignation et le rejet. Nous en faisons écho en son nom. Conscients que la dignité et l’État de droit ne s’acquièrent sans un esprit de combativité et de sacrifice, nous avons une obligation morale de sauver notre pays.


Face à la république qui s’effondre, notre devoir est de combattre la dictature jusqu'à son renversement. Nous sommes une génération qui échappe aux mécanismes de fragilisation sociale et économique mis en place par le bloc monolithique depuis la pseudo révolution. Nous déclarons que la politique n’a pas d’élitisme ethnique. Nous appelons donc nos compatriotes à ne pas céder aux avatars qui s’approprient le pays et s’octroient un droit de préemption sur les richesses nationales.


La situation du Congo se pose en termes de changement, non en termes d’alternance.

L’alternance est une continuité du système avec les mêmes hommes formatés par le dogmatisme révolutionnaire et acceptant le schéma institutionnel issu d’une base juridique malsaine.

L’unique changement valable est une rupture idéologique, politique, culturelle et générationnelle.


Le Club Perspectives et Démocratie estime que tout ce qui porte atteinte aux droits humains, aux intérêts, à l'honneur et à la dignité du pays doit être combattu sans ménagement. Cela signifie, d’une part, que les hommes et les femmes qui usent et abusent du droit de guerre au détriment des Congolais, aussi bien que les traîtres qui coopèrent avec eux, doivent être désavoués en boycottant massivement le scrutin de juillet 2009. D’autre part, cela signifie que le système totalitaire qui s’est installé de force et qui oppose les Congolais comme des rivaux ethniques, favorisant de surcroît le système des intérêts particuliers agglomérés, doit être conjointement et à tout jamais balayées.


Ensemble, tout est possible. Peuple Congolais, le combat contre la dictature vaut l’honneur et la dignité. Le 12 juillet, donnons un coup fatal à ce régime pour le délégitimer devant l’opinion internationale. Le Club Perspectives et Démocratie se fait l'interprète de toutes les consciences patriotiques du Congo. Nous œuvrons pour que le MCDDI, parti de rupture, soit aux avant postes de la lutte et retrouve rapidement son axe angulaire dans l’échiquier politique, dans l'histoire et dans les mémoires. Nous œuvrons pour que le Congo retrouve enfin sa dignité et l’État de droit.


Vive la République!

Vive le Congo!

Fait à Paris, le 21 juin 2009.

Signataires

Théo-Joseph SÉNGA, BEN

Edgard MFOUMOU-NÉ, BEN

Les membres du Comité National au Congo sous Anonymat

Association des Militants du MCDDI en France

Diaspora Congolaise en Europe

Pensées Universelles du Congo

AOCC

dimanche 31 mai 2009

Les obligés de Sassou-Nguesso cèdent à ses injonctions

Après avoir été sermonnés par Sassou-Nguesso, excédé par l’attitude passive face au rejet clair et massif exprimé par les militants et cadres du MCDDI contre le soutien au chef du régime de Brazzaville, ses têtes de pont incrustées au MCDDI ont trouvé une pirouette pour formaliser l’inconcevable. Tonton est servi !

Farce ou réalité ? Il y a belle lurette que le totalitarisme triomphant avait conçu évènement. Le temps traduisait simplement l’embarras des uns à se débarrasser de la patate chaude, et pour monsieur Sassou ce timing synchronise sa stratégie des évidences pour sa reconduite programmée à la tête du pays.

D’une part, sa vision bipolaire le pousse à s’arroger le soutien du plus grand parti du sud du pays. Même si localement ce montage a une résultante électorale nulle, Sassou en a virtuellement besoin pour la consommation extérieure, c'est-à-dire la diplomatie.

D’autre part, ses relations privées avec monsieur Kolélas visent uniquement la destruction du capital politique engrangé par l’opposant historique. L’anéantir et effacer ses traces. La sale besogne est assurée par ses éléments phagocytes rétribués par quelques miettes qui font la différence dans un environnement de misère.

Pour anesthésier la réaction de la base du MCDDI, ses chevaux de Troie distillent dans l’opinion l’idée d’une promesse alléchante profitable au MCDDI après la reconduite de sa forfaiture. Amnésie ou mémoire courte ? Quoiqu’il en soit, les mêmes qui ont rêvé d’une vice-présidence pour le président du MCDDI rêvent à nouveau de primature, de ministères d’État et de bien d’autres postes. C’est navrant une telle cécité politique.

Le non sens politique

Monsieur Sassou-Nguesso a déserté le PCT, son propre parti qui lui discute le leadership politique. Pour un candidat virtuel, attaché à son butin de guerre, ce passage en force est une professionnalisation de la terreur et de la manipulation politique. Évidence pour évidence, monsieur Sassou doit se rappeler que ce n’est pas la première tentative visant à brader le MCDDI au plus offrant. Toutes les tentatives depuis 1997 ont échoué. Celle-ci est vouée au même sort avec en prime des conséquences très fâcheuses pour les auteurs et le MCDDI.

Ces auteurs ont choisi de lier leur avenir politique au génocidaire de Bacongo et organisateur des massacres au Pool. Toute cette succession d’actes de trahison couverts par le mutisme de Bernard Kolélas jette certes le trouble dans l’esprit des militants et de la base. Ce mutisme prête le flan à diverses interprétations : le consentement déguisé, la retraite politique circonstancielle, etc. En effet, « qui ne dit mot consent » dit l’adage. Mais, la réalité crédite la thèse d’un Bernard Kolélas qui ne fait plus de la politique depuis son retour d’exil. C’est un constat conforté par des accords tacites ayant modifié les rapports individuels entre les deux hommes, passant l’un et l’autre d’ennemi à l’allié. Sa cour a usurpé son pouvoir et s’en serve comme paravent anti grogne et use de son sceau pour maquiller l’imposture. C’est un constat implacable et consternant.

Mise au point

Qu’on se le dise une fois pour toutes. Le MCDDI reste une forteresse inviolable idéologiquement et politiquement. Ce mouvement appartient et appartiendra toujours à ses militants et à sa base qui rejette le système d’avilissement, de servitude et de spoliation des oligarques usurpateurs. L’avalanche des actes anti-DDI montre que ces hommes ont déserté le parti et se complaisent dans le rôle de rats de cale. Ces éléments phagocytes auraient gagné en dignité en officialisant leur adhésion au RMP ou au PCT. Au moins défendreraient-ils leur qualité de transfuge par l’esprit d’ouverture politique si tenté qu’il en existe chez le pachyderme qui n’à point besoin du MCDDI pour tricher.

Fait à Paris, le 28 mai 2009.

Edgard. MFOUMOU-NE

jeudi 14 mai 2009

l'Iran à Villepinte avec Maryam Radjavi

Nous sommes tous invités à Villepinte pour participer à des rencontres inter culturelles avec nos amis Iraniens par le biais de nos différentes associations. Cet évènement est ouvert aussi aux individualités.

C'est l'occasion pour échanger et profiter des expériences des uns et des autres.

Moi, j'ai déjà ma carte d'entrée. Exigez la vôtre!

Transport gratuit au départ de Paris.



Contactez-moi au: 06 19 10 32 73
Contact direct aux organisateurs: 06 63 74 35 46

lundi 4 mai 2009

Grand Meeting pour la défense de la cité d'ACHRAF et pour un changement démocratique en Iran.















Pour défendre la démocratie, nos frontières traditionnelles doivent disparaitre. Un peuple en danger a besoin de soutien multiforme. C'est pourquoi j'invite la communauté congolaise et les membres des associations de défense des droits de l'homme de se mobiliser pour la cause Iranienne.
Une femme courageuse incarne cette lutte au sein de la résistance Iranienne, Maryam Radjavi. C'est autour d'elle que se construit à présent le renouveau démocratique en Iran et la défense de la cité d'Achraf (Irak).
Des ateliers de travail et de débats sont organisés périodiquement pour sensibiliser l'opinion ainsi que les échanges culturels entre les associations Iraniennes, Africaines et Européennes.

Pour apporter votre soutien ou tout simplement pour venir assister à ce grand dialogue avec les Iraniens de France, madame Maryam Radjavi et ses compatriotes vous attendent ce samedi 20 juin 2009 à 14 heures à Villepinte.

Contact: theojoseph.senga@orange.fr / 06 19 10 32 73



samedi 11 avril 2009

L'Abbé Yanguissa n'est pas fondateur ni co-fondateur du MCDDI

L’abbé Yanguissa n’est pas fondateur du MCDDI

Personnellement, je m'inscris en faux contre ses affirmations dénuées de tout fondement de l'abbé Yanguissa en ce qui concerne la création du MCDDI et de son concept "développement intégral".
La démarche politique de l'abbé Yanguissa est louable lorsque celui-ci présente une alternative politique autre que la gestion actuelle du pouvoir. En tant que candidat à l'élection présidentielle, l'idéal est de défendre son projet alternatif pour le pays plutôt que de commencer à critiquer celui qui n'interdit à personne de prendre son envol politique.Quant à la gestion municipale de Brazzaville, il a beaucoup à dire en matière de moralité.

Pour gagner aux élections, il faut d'abord rassembler son camp afin de profiter de la dynamique ainsi créée. Jusqu'à preuve du contraire, le président du MCDDI reste encore le dépositaire de la légitimité politique dans notre parti. Nombreux sont ceux qui ont profité et profitent encore de son nom pour leur ascension politique et sociale.

Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI capitalisant une certaine expérience politique de par ses membres, est une école de pensée politique et sociale moderne. Pour autant, il ne s'arroge pas une quelconque paternité de telle ou telle action politique majeure. L'essentiel se trouve du coté des bénéficiaires des actes que l'on pose de façon démocratique.
C'est donc inutile et politiquement incorrect de se prendre pour le fondateur du MCDDI et répandre ces contre vérités dans l'opinion, alors qu'au même moment on est en train de prendre un rendez-vous avec l'histoire.
L'Abbé Yanguissa n'a donc pas besoin de mentir pour se faire une identité politique. Cette imposture risque de lui faire rappeler un passé récent qui n'est pas pour le moins louable en tant qu’homme d'église.

Le combat de Bernard Kolélas n'a pas d'égal au Congo Brazzaville. Se priver de sa jeunesse au profit de la communauté avec les risques que cela a engendré, lutter pour les libertés fondamentales pendant que les autres se préoccupaient de l'appât du gain matériel, cela force le respect.

On peut être en désaccord politique sans pour autant appeler à la vindicte populaire contre celui qui a été à l'origine du changement en 1992.

mardi 7 avril 2009

Ségolène Royal en Afrique: vive la démagogie !

Comme Nicolas Sarkozy en pleine campagne pour les présidentielles en France, qui voulait en finir avec la Françafrique, Ségolène Royal vient de perpétuer ce discours démagogique.

Il y a aumoins quelque chose de commun entre les deux, c'est la provocation en direction de la jeunesse africaine et le soutien multiforme aux dictateurs en place depuis des années.
Plusieurs dictateurs africains sont responsables des massacres de leurs propres populations. Ces mêmes chefs d'Etat pillent leur pays avec la complicité des entreprises françaises et Européennes depuis des décénies.
Face à ces situations on a pas vu Mme Royal dénoncer ces crimes ou prendre position et aider les opposants en France à se faire entendre.
C'est donc trop facile de venir faire le médecin après la mort en Afrique. Tout le monde sait que si elle était élue en 2007, elle agirait de la même façon sur le dossier africain. Pour combattre Mr Sarkozy, il faudrait bien qu'elle trouve autre chose et, les dossiers ne manquent pas.

Les propos de Sarkozy sur les Africains sont effectivement contestables. Mais pourquoi avoir attendu si longtemps pour s'indigner maintenant ? Demander pardon en lieu et place du chef de l'Etat, c'est faire preuve d'une légèreté étonnante. Cela manque de modestie.
Le dossier "Afrique" a déjà une victime qui s'appelle Jean Marie Bockel. A gauche un certain Jean Pierre Cot avait eu le même sort et le "donneur d'ordre" africain, très influent dans le microcosme politique français est encore président dans son pays depuis plus d'une quarantaine d'années.
Les africains, opposants ou société civile doivent s'organiser autrement que d'attendre le "miracle" français pour la démocratie en Afrique. La gauche et la droite en France ont des mêmes intérêts à défendre sur ce continent. Alors, Ségolène ou Sarkozy en Afrique, c'est blanc bonnet et bonnet blanc.

Les pays qui se démocratisent dans ce continent sont très peu nombreux. Pour y parvenir les élites africaines et leurs hommes politiques affrontent quelquefois des adversaires "invisibles" et parrains de la françafrique.
Mme Ségolène Royal doit prendre en compte tous ces paramètres et venir au chevet de l'Afrique avec de meilleurs dispositions politiques.

Notre continent ne doit pas être un instrument de politique politicienne française.
















lundi 9 mars 2009

Sortie officielle du Club Perspectives et Démocratie du MCDDI

Club Perspectives et Démocratie du MCDDI

Déclaration solennelle

Chers compatriotes,
Chers militants et sympathisants du MCDDI,

En nous organisant autour du Club Perspectives et Démocratie, nous nous inscrivons dans une dynamique de rassemblement de tous ceux qui pensent que notre parti doit demeurer le pivot démocratique au Congo. Ce rôle de pivot ne peut être atteint que si les militants du MCDDI s’investissent dans une dynamique nouvelle et innovent dans l’action, dans la méthode et dans les idées.

Notre pays a été façonné, de gré ou de force par la pseudo révolution d’août 1963. Culturellement, l’espace politique national est pollué par des réflexes issus du monopartisme. La Conférence Nationale Souveraine, en dépit du remodelage institutionnel, n’a pas réussi à inoculer la culture démocratique aux héritiers d’août 63 qui ont du mal à assumer ce grand malentendu historique. Notre défi est de changer positivement le destin du pays en opérant une rupture politique et idéologique. Nous sommes confrontés à une réalité à laquelle les Congolais n’étaient pas préparés. Face aux enjeux, l’effort minimal qu’exige notre situation est de s’organiser et d’agir dans le sens des intérêts du peuple Congolais.

Pourquoi Club du MCDDI ?

Nous avons souhaité ancrer notre organisation au sein du MCDDI pour épargner notre parti de subir le sort le de l’Amical et de l’UDDIA. Notre idéal ne doit pas être un éternel recommencement. Le MCDDI est la Maison Kongo à consolider, à redynamiser. Il n’est pas une monnaie d’échange à des fins privées. Le Club est une réponse et un engagement à déjouer la stratégie du cheval de Troie révolutionnaire.

Ainsi, nous optons pour la réforme du parti de l’intérieur pour sauvegarder les acquis démocratiques, pour renouveler les intelligences et les idées, pour apporter de l’oxygène, parce que l’unité du parti est notre préoccupation majeure. Mais aussi, parce que la question du leadership au sein du MCDDI est une problématique majeure dans le contexte actuel.

Nous sommes convaincus qu’une organisation forte, unie et dynamique est la clef de succès politique. Le sens de la responsabilité nous recommande de continuer le travail inachevé de nos pères fondateurs. C’est cette capacité à défendre notre identité et notre idéal qui nous légitimera aux yeux de nos concitoyens et de l’opinion.

En ancrant le Club au sein du MCDDI, nous avons aussi voulu tordre le cou au marketing politique clientéliste qui alimente la cooptation politique. Cette tendance fortement prononcée fait fi des convictions et dévalue la fonction politique. Nous sommes convaincus que ce sont les idées, de préférence justes, qui font le leadership.


Le Club : un laboratoire d'idées

Notre expérience dans la gestion des hommes et des structures, depuis environ une vingtaine d’années au sein du MCDDI, nous permet de partager cette passion maîtrisée de la politique avec des hommes et des femmes responsables économiques, politiques, associatifs, du Congo et d’ailleurs.

L’objectif du club est donc d’être une force prospective, un vrai laboratoire d’idées et un levier d’actions politiques. Une boîte à idées, pour éclairer l’opinion nationale et internationale, pour initier des actions politiques, pour réfléchir ensemble aux problématiques sociétales du Congo et pour imaginer le futur du Congo.

Le Club naît certes à Paris, mais son existence est nationale. Son implantation couvrira donc le territoire national partout la nécessité ou le besoin se fera sentir. Il n’est pas un MCDDI bis. C’est un instrument à disposition des Congolais et du parti qui doivent s’en approprier pour participer au débat d’idées.


Le statut juridique du Club

Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI est une association loi 1901. Ses statuts et son bureau issu de l’assemblée constituante seront déposés à la préfecture de Paris puis à Brazzaville pour enregistrement. Ce bureau sera remanié une fois la représentation nationale sera établie au Congo où résidera son siège.

Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI c’est aussi un espace interactif appelé mcddiinteractive.net

En effet, le Club sera doté d’un outil interactif pour rendre le plus moderne possible l’échange avec l’opinion. Grâce aux nouvelles technologies, tous les Congolais qui le souhaitent peuvent se saisir directement des sujets qui les concernent et contacter tout membre du MCDDI. Cette ouverture médiatique offre l’occasion à chacun de s’exprimer librement et en temps réel par internet. C’est un support de communication qui nous rapprochera en plus des rencontres prévues dans le cadre de notre fonctionnement.


Conclusion

Pour triompher dans notre démarche, nous appliquons un dicton universel : l’union fait la force. C’est de l’unité, de l’échange et du partage d’expériences que naissent des idées nouvelles, au service de notre pays et de notre parti. Avec le courage, la volonté, l’abnégation et surtout avec la fraternité, notre vocation est d’apporter une vision ambitieuse par une approche constructive qui a déjà fait ses preuves dans d’autres organisations.

Chers compatriotes,
Chers militants et sympathisants,

En même temps que nous faisons des constats, apportons ensemble des solutions pour l’efficacité du MCDDI et le triomphe de nos idéaux.


À Paris, le 7 mars 2009.

Théo-Joseph SÉNGA
Edgard MFOUMOU-NÉ

mardi 3 mars 2009

Droit de réponse à l’INP de Mr Yoka Emmanuel

Les Membres de la Direction du MCDDI en France
Club Perspectives et Démocratie du MCDDI

Droit de réponse à l’INP de Mr Yoka Emmanuel

L’initiative INP relayée dans “Les dépêches de Brazzaville“ interpelle les Congolais sur les dangers d’une unanimité ponctuelle subjective des acteurs politiques domestiqués par monsieur Sassou-Nguesso. Sur la forme, le concept de paix mis en avant dans cette campagne est un concept marketing pour embellir l’image maculée de l’actuel chef du régime issu du coup d’État d’octobre 1997. Dans le fond, ladite initiative est une campagne, empreinte de menaces voilées (C’est moi ou la guerre), qui infantilise les Congolais et qui vise à rendre évidente la reconduite de monsieur Sassou à la tête de l’État du Congo pour une 6e investiture.

L’INP est une nébuleuse de personnalités au contentieux criminel (crimes de sang et crimes économiques) sans légitimité. Ce qui explique le contournement de leurs partis respectifs au profit d’une cooptation à forte résonance sociologique qui invalide l’existence du RMP.

Après les déconvenues sociopolitiques à Pointe-Noire, les arrestations extrajudiciaires sur les jeunes du Kouilou et l’avalanche des coups tordus de diverses natures, il est évident que le pouvoir craint le rejet massif à l’idée même d’organiser cette mascarade de scrutin prévu en juillet 2009.

Le Club Perspectives et Démocratie du MCDDI réfute l’utilisation abusive et éhontée du concept de paix par l’INP. Étant entendu que le concept de paix est incompatible avec le système incarné par Dénis Sassou-Nguesso. Cette initiative est une supercherie politique de plus dont la seule motivation est de maintenir au pouvoir le système politique responsable des malheurs des Congolais.

Le Club estime que l’INP est tout simplement une organisation de la malfaisance qui a déjà des comptes à rendre aux Congolais et à laquelle le nom de Bernard Kolélas est associé. Ce qui par ailleurs signifie que le Président du MCDDI, ne peut plus se murer dans un silence qui serait perçu pour un consentement. Dans le cas contraire, les auteurs de cette mesquinerie qualifiable de voie de fait bafouent la dignité de nos militants et des Congolais, crachent sur la crédibilité du MCDDI, et enfin participent à la stratégie adverse consistant à forcer le président du MCDDI à soutenir l’insoutenable. Le leitmotiv de la « paix » s’avère inadapté, car le pouvoir use à tort et à travers de ce vocable pour masquer la terreur d’État orchestrée par le champion de l’instabilité au Congo-Brazzaville.

Dès l’instant où le nom de notre leader est associé à cette nébuleuse, le Club invite le président du MCDDI à expliquer aux congolais et aux militants du parti les raisons de sa présence dans ce mouvement incarné par celui qui n’a jamais demandé pardon au peuple Congolais, qui continue de se comporter insolemment comme une victime, et qui ne donne aucun signe d'assouplissement de sa radicalité et de son unilatéralisme.

Le Club Perspectives et Démocratie considère que notre parti, qui est l’axe angulaire de la démocratie au Congo, n’a pas encore pris la décision hautement politique sur les choix suivants :

• Accepter ou non l’idée et la validité politique concernant l’organisation des élections présidentielles dans les conditions actuelles d’opacité et de tricherie bien visibles.

• Dans l’hypothèse de sa participation à ce processus, la désignation du candidat du MCDDI. Dans le cas contraire, l’exposé de l’alternative politique et institutionnelle de notre parti.

Dans les deux cas, le mutisme constituerait un fâcheux précédent pour le pays. Car, non seulement les militants du MCDDI seront déstabilisés et inquiets pour l’avenir immédiat, mais notre pays sera dans une situation d’incertitude totale avec les conséquences dont nul n’ignore la portée.

Enfin, le rançonnage des Congolais sous forme de cotisation pour la candidature de monsieur Sassou-Nguesso est une injure sans précédent pour un peuple déjà meurtri et paupérisé depuis des années par la mal gouvernance et le siphonage à des fins privées des revenus nationaux.

Le MCDDI, à travers le Club Perspectives et Démocratie, dénonce cette escroquerie intellectuelle et politique. Nous réaffirmons qu’une autre alternative est possible. Il s’agit de reconstruire la cohésion nationale par des assises nationales traitant des exigences suivantes :
  • La remise à plat du processus électoral actuel.
  • Le balisage d’un renouveau démocratique différent d’une simple validation des desseins du régime actuel.
  • plate-forme minimale de gouvernement d’union nationale autour des problématiques sociales et économiques du pays.



Fait à Paris, le 3 mars 2009.

Pour le MCDDI
Le Club Perspectives et Démocratie
Théo-Joseph SENGA.
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