Hommage au Président fondateur du MCDDI pour l'oeuvre accomplie.
La vision politique qui était la sienne est partagée par plus d'un Congolais aujourd'hui à savoir, le respect des normes démocratiques dans notre pays.
En effet, quand le pouvoir est obtenu sur la base du mensonge et de la violence comme seule alternative pour y accéder, les conséquences sont irréparables. Bernard Kolelas avait vu juste. Conséquences, le Congo, notre pays est livré aux prédateurs étrangers et autre reseau mafieux.
Au moment où nous célébrons sa disparition, nous devons méditer sur la portée de cette vision.
La participation du pouvoir actuel à cet événement est d'une hypocrisie sans égal , car s' il avait écouté le leader Congolais Bernard Kolelas en 1997, les choses seraient moins insupportables.
Comme toujours, Mr Sassou a très souvent une longueur de retard sur la plupart des évènements, même celui du Burkina Faso. Il est donc temps pour lui de partir du pouvoir.
Face à cette situation, le MCDDI a le devoir de proposer une Alternative politique au Congo. Les simples célébrations pour se souvenir uniquement de Bernard Kolelas sans exercer le pouvoir d'Etat, c'est envoyer aux oubliettes le travail politique de toute une vie de notre Président.
Dignes héritiers de Ya Bekol, nous devons faire comme lui, être ouverts , tolérants et ambitieux.
Pour porter notre pays vers l'excellence démocratique, le MCDDI doit s' organiser autrement et être ouvert afin qu'il suscite l'adhésion des Congolais. La réussite est à ce prix.
TJS
La vision politique qui était la sienne est partagée par plus d'un Congolais aujourd'hui à savoir, le respect des normes démocratiques dans notre pays.
En effet, quand le pouvoir est obtenu sur la base du mensonge et de la violence comme seule alternative pour y accéder, les conséquences sont irréparables. Bernard Kolelas avait vu juste. Conséquences, le Congo, notre pays est livré aux prédateurs étrangers et autre reseau mafieux.
Au moment où nous célébrons sa disparition, nous devons méditer sur la portée de cette vision.
La participation du pouvoir actuel à cet événement est d'une hypocrisie sans égal , car s' il avait écouté le leader Congolais Bernard Kolelas en 1997, les choses seraient moins insupportables.
Comme toujours, Mr Sassou a très souvent une longueur de retard sur la plupart des évènements, même celui du Burkina Faso. Il est donc temps pour lui de partir du pouvoir.
Face à cette situation, le MCDDI a le devoir de proposer une Alternative politique au Congo. Les simples célébrations pour se souvenir uniquement de Bernard Kolelas sans exercer le pouvoir d'Etat, c'est envoyer aux oubliettes le travail politique de toute une vie de notre Président.
Dignes héritiers de Ya Bekol, nous devons faire comme lui, être ouverts , tolérants et ambitieux.
Pour porter notre pays vers l'excellence démocratique, le MCDDI doit s' organiser autrement et être ouvert afin qu'il suscite l'adhésion des Congolais. La réussite est à ce prix.
TJS